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    • COMITÉ DE PUBLICATION DES « TEXTES LITTÉRAIRES FRANÇAIS »
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      • PRINCIPES D’EDITION
    • Sur les diverses Poësies de Mon / sieur de Lasphrise, STANCES.
    • Epigramme à mes Amis, sur mes  / diverses Poësies.
    • L’Auteur à son livre.
    • LASPHRISE  / Contre ceux qui l’appellent  / bien Mesdisant
    • DIVERSES POESIES DU CAPITAINE LASPHRISE
      • SONNETS I
      • II
      • III
      • IV
      • V
      • VI
      • VII
      • VIIISonnets [sic] des mots des filles de la Cour.
      • IXSonnet des gestes des Dames.
      • X
      • XIMascarade aux Dames.
      • XII
      • XIII
      • XIV
      • XV
      • XVI
      • XVII
      • XVIII
      • XIX
      • CHANSON I
      • XX
      • EPIGRAMME
      • XXI
      • XXIISonnet à une mesdisante
      • XXIII
      • XXIV
      • XXV
      • XXVI
      • XXVII
      • CHANSON II
      • XXVIIISonnet en Dialogue
      • XXIX
      • XXX
      • CHANSON III
      • CHANSON IV
      • CHANSON V
      • XXXI
      • XXXII
      • EPIGRAMME
      • AUTRE
      • Contre une Dame bossue Mesdisante.
      • Pour la mesme
      • A une pareille humeur
      • Contre un RimeurMesdisant de mes Vers.
      • Autre
      • Au Mesme
      • A d’Autres
      • A TOUS LES MESDISANS DE L’AUTHEUR
      • XXXIII
      • XXXIV
      • XXXV
      • XXXVI
      • XXXVIISonnet unique en Rime sur F.
      • XXXVIII
      • XXXIX
      • XL
      • XLI
      • BRANSLE SIMPLE VI
      • XLII
      • SONGE
      • XLIII
      • XLIV
      • XLV
      • XLVI
      • XLVIIA Madamoiselle Diane d’Estrée
      • XLVIII
      • XLIXCes vers sont masculins : car la Dame aime le masle.
      • L
      • LI
      • LII
      • LIII
      • LIVTraduict du Petrarque
      • LV
      • LVI
      • LVII
      • LVIII
      • LIX
      • LXCartel envoyé aux ennemis à Bouteville par des Capitaines mes compagnons et moy
      • LXI
      • LXII
      • LXIII
      • LXIV
      • EPIGRAMME
      • LXV
      • LXVI
      • LXVII
      • LXVIII
      • LXIX
      • LXX
      • LXXIA Monsieur de Livarrot mon Maistre de camp, qui fust blessé allant investir la Mure.
      • ELEGIE
      • LXXII
      • LXXIIIAux Poëtes
      • LXXIV
      • LXXV
      • LXXVI
      • LXXVII
      • LXXVIIISonnets en Galimatias
      • LXXIX
      • Rime ronflante à gros grain
      • LXXXSonnet en authentique langage soudardant
      • LXXXISonnet en langue inconnue
      • Vers sententieux non rimez
      • LXXXII
      • LXXXIII
      • CHANSON VII
      • LXXXIV
      • LXXXV
      • LXXXVILasphrise capitaine entretenu AU ROY
      • TOMBEAUX DE MES AMIS LXXXVIISonnet sur le trespas de Monsieur d’Estrée, grand Maistre de l’artillerie.
      • LXXXVIIISur la mort de Monsieur de GohasGoas, ou Gohas, était un capitaine catholique qui participa au siège de La Rochelle (1572 / 73) et y fut blessé mortellement (J.-A. de Thou, Histoire, cit., IV, 792). Rappelons que le chef de l’armée catholique au siège de La Rochelle était le duc d’Anjou, futur Henri III, Sur les rapports d’amitié qui lièrent Goas à Papillon, voir Nerina Clerici-B aimas, Un poète du XVI ‘siècle…, cit., pp. 76-77. Sur la charge de maître de camp, cf. P. Daniel, Histoire de la milice françoise, Paris, 1721, II, pp. 45-51 et Pinard, Chronologie historique et militaire, Paris, 1869-78, III, 468-469., qui fust tué devant la Rochelle estant Maistre de Camp.
      • LXXXIXSur la mort de monsieur du GasLouis Bérenger du Gast fut un des favoris d’Henri III, ennemi personnel de Marguerite de Valois, sœur du roi, qui le fit assassiner dans sa maison, en octobre 1575, par le baron de Vitteaux. Sur ce personnage, et sur les rapports qui le lièrent à Papillon, cf. Nerina Clerici-Balmas, Un poète du XVIesiècle…, cit., pp. 77- 79, où nous avons examiné les deux présents sonnets écrits par Lasphrise sur sa mort. Dans les mêmes pages (en note) nous rappelons aussi les rapports entre Du Gast et Desportes, qui écrivit deux épitaphes pour la mort de ce favori. Sur ce sujet, cf. J. Lavaud, Philippe Desportes, Paris, Droz, 1936, pp. 250-251. Les deux compositions de Desportes se trouvent dans l’éd. Michiels, pp. 474-475. maistre de camp des Gardes du Roy.
      • XCPour le mesme
      • XCISur le trespas de Monsieur de Sarrieu , qui fust Maistre de camp du plus vieil Regiment en garnison en Picardie.
      • Pour le mesme
      • XCIISur le trespas de monsieur de Ponsonas , Escuyer, Capitaine d’une compagnie des Gardes du Roy, qui fust tué devant Broüage.
      • Pour le mesme Ponsonas
      • XCIIISur la mort de Monsieur de CholetLe capitaine Bois de Cholet a laissé quelques traces dans les chroniques de l’époque. Il est mentionné dans l’Histoire universelle d’A. d’Aubigné (éd. de Ruble, IV, 318) comme ayant participé en 1574 au siège de Lusignan, parmi les troupes catholiques. Il est aussi cité dans le Journal historique de Denis Généroux (journal pour les années 1567-1576, p.p. B. Ledain, Niort, 1865) : avec d’autres gentilshommes catholiques, le 20 février 1568 il va charger cinquante casaques blanches (protestants) à Luçon. Sur ce personnage voir aussi Nerina Clerici-Balmas, op. cit., pp. 106- 107., qui fust tué devant Broüage.
      • XCIVExôost Ucepsî Nis ovium
      • XCVExoôstinc Philastel
      • Complaincte sur la mort de LoysLoys Doffignée, sieur du Ronchoy : malheureusement, les chroniques de l’époque n’ont laissé aucune trace de lui. Sur cette complainte, sur le sonnet suivant et sur ce personnage, cf. Nerina Clerici-Balmas, Un poète du XVIe siècle…, op. cit. pp. 107- 109. Doffignée, Escuyer, mon intime compagnon, sieur du Ronchoy, qui fust tué malencontreusement en Broüage.
    • XCVIPour le mesme
      • A Anthoinette de BARBESIEUXAntoinette de La Rochefoucault-Barbezieux, dame de Linière, fille de Charles de La Rochefoucault, seigneur de Barbezieux, et de Françoise Chabod, est citée dans Brantome parmi les filles de la Cour de Catherine de Médicis (éd. Mérimée, X, 103). Elle épousa en 1577 Antoine de Brichanteau, marquis de Beauvai-angis (ou Beauvais-Nangy, selon la graphie ancienne) et eut de ce mariage 14 enfants, dont les trois premiers, Flenri (né le 13 nov. 1578), Charles (né le 28 juillet 1579) et Antoine (né le 12 avril 1580), moururent aussitôt après leur naissance (Père Anselme, op. cit., VII, 894). Cette complainte peut donc être datée d’autour de la fin de 1578. Antoinette de Barbezieux mourut le 5 mai 1627. femme de Monsieur de Beauvais NangyAntoine de Brichanteau, marquis de Beauvais-Nangis et amiral de France. était né en 1552 et mourut en 1617. Il participa à beaucoup de faits d’armes de l’époque : en 1570 il accompagna Charles de Mayenne au Levant (c’est peut-être au cours de cette expédition que Papillon fit sa connaissance) ; en 1575 il participa à la bataille de Dormans et en 1577 au siège de Brouage : autant de faits de guerre auxquels Papillon participait aussi. Plus tard, il entra dans le parti des Guises, mais il se rallia ensuite à Henri de Navarre et suivit le roi au siège de La Fère (1596). Il obtint de Marie de Médics l’érection de sa terre de Nangis en marquisat. Antoine de Beauvais-Nangis est mentionné plusieurs fois dans l’œuvre de Papillon, et toujours en termes très flatteurs : dans la dédicace de la Nouvelle Inconnue de l’an 1579 (éd. 1599, p. 313), dans les Div. Poésies, S. CX (voir ci-dessous), et dans les Stances de Bacchus et de Caresme-Prenant (éd. 1599, p. 621), parmi ses amis intimes à la santé desquels il veut boire. Pour la biographie de ce personnage, consulter : Nicolas de Brichanteau de Beauvais-Nangis (le fils d’Antoine), Mémoires, Paris, 1665., sur la mort de leur fils aisné.
      • XCVIITombeau du Capitaine CaumontLe capitaine Caumont : ce personnage n’a pas laissé de trace dans les Mémoires de l’époque ; nous n’avons pas pu l’identifier. Etant donné la place de ce sonnet dans la suite des Tombeaux, il mourut très probablement entre 1578 et 1579., qui est enterré aux JacobinsIl existait à Paris deux couvents des Jacobins : l’un s’élevait rue Saint-Jacques, près de la porte ; l’autre était placé dans le quartier de la rue Saint-Honoré et était appelé des Jacobins réformés, car les frères provenaient d’une réforme des Jacobins de la rue Saint-Jacques. Puisque les Jacobins réformés s’établirent rue Saint-Honoré au début du xviie siècle, l’église à laquelle se réfère notre poète est sans doute celle de la rue Saint-Jacques. Sur ces deux couvents, consulter : A. Franklin, Les anciennes bibliothèques de Paris, églises, monastères, collèges, etc., Paris, Paris, 1867-73, 3 vol. in-fol., à Paris
      • XCVIIITombeau de Monsieur de BussyLouis de Clermont d’Amboise, dit Bussy d’Amboise est un des grands personnages de la Cour des derniers Valois. Attaché d’abord à Henri III, qu’il suivit dans son aventure polonaise (1573-74), il passa ensuite au service du duc d’Aleçon. Selon les chroniques du temps, il participa à beaucoup de faits d’armes : le siège de La Rochelle (1572-73), le siège de Lusignan (1574), l’expédition de Flandre (1578). Il fut assassiné par jalousie le 19 août 1579 par Charles de Chambes, comte de Montsoreau, dont il avait séduit la femme. Sur cet épisode, et sur la vie de Bussy, voir A. Joubert, Un mignon de la Cour d’Henri III, Angers, 1885. Sur les rapports entre lui et notre poète, voir Nerina Cleric-almas, Un poète du XVIe siècle…, cit., pp. 80-81 ; 84-86 ; 96 ; 109- 110 (participation à l’aventure de Flandre). Cette mort dramatique inspira plusieurs épitaphes et tombeaux à des auteurs plus ou moins connus de l’époque : une partie en fut recueillie Dar P. de L’Estoile, Mémoires-Journaux, éd. Brunet-Champollion, cit., I, 321-331. De même, Claude de Trellon composa un Tombeau de feu Monsieur de Bussy : 40 alex. à rimes plates dans La Muse guerrière, Paris, Abel L’Angelier, 1587, 1. II, p. 98..
      • XCIXSur le trespas de Madamoiselle de Roustin
      • Pour la mesme
      • CPour la mesme
      • CITombeau de Monsieur de LIVARROTGuy d’Arces, baron de Livarot (cf. supra, S. LXXI, p. 108), le célèbre favori d’Henri III, avait participé en 1578 au « duel des mignons » et était resté le seul survivant dans le camp royal. En 1580 il participa au siège de La Mure en qualité de colonel d’un régiment. Il mourut en 1581 dans un duel contre le marquis de Mignelay. Sur sa mort, voir P. de L’Estoile, Mémoires-Journaux, éd. Brunet-Champollion, t. II, pp. 5-6. Sur ses rapports avec Papillon, voir Nerina Clerici-Balmas, Un poète du XVIe siècle…, cit., pp. 115-119. Le premier quatrain est entièrement rapporté. mon maistre de Camp.
      • Pour luy-mesme
      • CII
      • Plaincte sur le trespas de Damoiselle Genefvieve de Papillon ma sœur.A Madamoiselle de MasairesMadeleine de Masaires, à qui la plainte est dédiée, est vraisemblablement la fille ou la sœur du seigneur ‘de Masaires tourangeau’ pour lequel Marc Papillon écrivit le tombeau que l’on trouve ci-dessous, S. CVI des Div. Poésies. Il fut tué au siège de Vouvant en Poitou..
      • CIIISonnet pour la mesme
      • CIVSur le trespas de Marie PrevostSur Marie Prévost, mère de l’auteur, sur la famille Prévost, et sur ses vicissitudes après la mort de Pierre Papillon, voir Nerina Clerici-Balmas, Un poète du XVIe siècle…, cit., ch. I Le milieu familial, en part, les pp. 30-44. C’est un groupe de trois poèmes composés pour la mort de sa mère. Du point de vue biographique on en tire quelqus renseignements utiles : Marie Prévost mourut à un âge avancé, après avoir enseveli non seulement son mari Pierre Papillon, mais aussi plusieurs de ses enfants, entre autres Jean, s. du Puy de La Source, et Geneviève, dont les Tombeaux précèdent le sien dans la disposition voulue par Marc Papillon., Madamoiselle de Vau-berault ma mere.
      • CVPour la mesme Damoiselle
      • Sur ses dernieres paroles
      • CVISur le trespas du sieur de Masaires, Gentilhomme Tourenjau, mon intime, qui fust tué au siege de Vouvant en Poictou.
      • CVIIEpitaphe du capitaine BouchereauLe capitaine Bouchereau, voisin de Lasphrise, fut tué lors d’une rencontre entre Ligueurs et armée royale en Bourgogne, près de Lons-le-Saulnier, probablement en 1595. Au printemps de cette année, le maréchal de Biron fait une campagne en Bourgogne, à la tête des troupes royalistes, contre le duc de Mayenne assisté de renforts espagnols, et s’empare de Beaune, Auxonne, Autun (Thou, Histoire, éd. cit., VIII, 550-554). En été de la même année, Henri IV entre lui-même en campagne, et au mois d’août la ville de Lons-le-Saulnier est prise par reddition, après quelques escarmouches dans les alentours. C’est probablement au cours d’un de ces combats que le capitaine Bouchereau fut tué. J’ai consulté, à ce propos, M. J.-B. Perrin, Notes historiques sur la ville de Lons-le-Saulnier, Lons-le-Saulnier, 1850. mon voisin, qui a esté tué à la guerre, en la Comté de Bourgongne, pres Lyon le Saulnier.
      • CVIIISur le trespas du sieur de la Pagerie mon voisin qui fut tué en une rencontre, entre Cambray et le CasteletL’episode pourrait se situer en 1595, au temps de la guerre d’Henri IV contre l’Espagne. Le 5 juin de cette année, Henri IV battit les Espagnols à Fontaine-Française (Bourgogne), qui étaient alliés aux catholiques de Mayenne. Puis les Espagnols firent une offensive des Pays-Bas vers Paris. Le nouveau gouverneur Fuentes saisit Doullens, Cambrai, Calais (de juillet à octobre). Peu avant, il avait mis le siège au Câtelet et l’avait pris (voir, à ce sujet, de Thou, Histoire, éd. cit., VIII, 583 et suiv.)..
      • CIXSonnet sur ma blessure et maladie au camp de la Mure en Dauphiné.
      • CXSonnet à Monsieur de Beauvais Nangy
      • CXI
      • CXII
      • CXIII
      • CXIV
      • CXV
      • CXVI
      • CXVII
      • CXVIII
      • CXIX
      • CXX
      • CXXI
      • CXXII
      • CXXIII
      • CXXIV
      • CXXV
      • Lespeïc Reüls Sivanp Osnim
      • CXXVI
      • CXXVIIPlaincte en Acrostiche double
      • CHANSON VIIIContraire vers pour vers à celle de « Je ne veux plus adorer que tes yeux ».
      • CXXVIII
      • EPIGRAMME
      • CXXIX
      • Le Bouquet de Coquette de l’an 1581
      • CXXX
      • CXXXI
      • CXXXII
      • CXXXIII
      • CXXXIV
      • CXXXV
      • CXXXVISonnet du naturel d’Amour en Dialogue, parlant à luy.
      • CXXXVII / a
      • Loüange du Chien, avec l’epitaphe de ma petite Chienne
      • CXXXVII / b
      • CXXXVIII
      • CXXXIX
      • STANCES
      • STANCESSur la perte de beaucoup de mes vers, et du mepris qu’on faict de la Vertu.
      • CXL
      • CXLI
      • CXLII
      • CXLIIIContre un Poëte mesdisant de Rabelais.
      • CXLIV
      • CXLV
      • CXLVI
      • CXLVII
      • CXLVIII
      • CXLIX
      • CL
      • CLI
      • CLII
      • CLIII
      • CLIVA Maistre Gilles l’Usurier , Procureur à Chartres.
      • CLV
      • CLVI
      • CLVII
      • CLVIII
      • Dialogue avec les Muses
      • CLIX
      • Des-aveu du fleau feminin
      • Sur le bel Anagramme de M.P.
      • Regrets de Philasser PHILASSER : anagramme de Lasphrise.
      • CLX
      • CLXI
      • CLXII
      • CLXIII
      • CLXIV
      • ELEGIE
      • CLXV
      • Discours à la France
      • ELEGIE
    • APPENDICE
    • BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE Références des ouvrages cités
      • I. Auteurs contemporains de Papillon ou anciens
      • II. Auteurs modernes
    • TABLE DES INCIPIT
    • INDEX DES NOMS PROPRES
    • TABLE DES MATIÈRES
Diverses poésies
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Pour citer ce chapitre :

Papillon de Lasphrise, Marc.
Chap. « Page de titre () » in Diverses poésies.
Ed. Nerina Clerici-Balmas.
Genève: Librairie Droz, 1988
9782600026314

Pour citer un extrait :

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TEXTES LITTÉRAIRES FRANÇAIS
MARC PAPILLON DE LASPHRISE
DIVERSES
POÉSIES
Edition critique avec introduction et notes
par
NERINA CLERICI BALMAS
GENÈVE
LIBRAIRIE DROZ
11, rue Massot
1988

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